Par Napakatbra, du site Les mots ont un sens. Depuis ses saillies du 16 avril dernier sur ses collègues du G20, d'Obama à Merkel en passant par Zapatero, Sarkozy est devenu la cible des éditorialistes de la presse étrangère, atterrés devant tant de suffisance.Dans son édition de jeudi, Libération a lâché une bombe. La veille, NicolasSarkozy recevait des parlementaires de toutes tendances pour un dîner à l'Elysée. Le chef de l'Etat y a violemment critiqué ses homologues étrangers : Obama, limite incompétent ; Barroso,«totalement absent» ; Zapatero, «peut-être pas très intelligent»... Selon Libération, qui cite plusieurs élus présents lors de la petite sauterie, NicolasSarkozy s'était livré à un festival de «moi je» lors d'un retour d'expérience sur le G20 qui a rapidement viré à la critique généralisée de ses homologues internationaux. Des propos tenus en privé mais devant des parlementaires, NicolasSarkozy savait parfaitement qu'ils seraient rapportés à la presse. Tout le monde en a pris pour son grade. Lire la suite sur le site des Mots ont un sens.Philippe MARX - Agir ! Réagir !