Et elles obéissent à une tendance globale, puisque Stephenie Meyer reste dans les têtes de liste, elle qui aura représenté une grosse part des ventes américaines. Le directeur de l'Australian Booksellers Association, Malcolm Neill, a rappelé que les livres restaient relativement immunisés face à la crise. L'expérience enseignerait d'ailleurs que la littérature n'est pas frappée avant une période très prolongée de crise financière.
Et encore, les livres neufs seraient les premiers touchés, puisque la vente d'ouvrages d'occasion rien toujours la route, comme le montrer différents bouquinistes du pays. Des bouquins sur l'art et l'architecture ne fonctionnent pas très bien, de même que les beaux livres, mais comme un peu partout dans le monde, on constate également une augmentation de la fréquentation des bibliothèques...
La ville de Sydney en compte sept, et au cours des trois premiers mois, elles ont connu une hausse de 12 % de l'affluence. À mettre en relation avec la promotion et le libre accès au WiFi, estime un porte-parole du Conseil de la ville.