Le PDG de Total est l’objet d’un consensus politique qui descend en flamme son projet de dégraisser la bête multinationale de cinq cent cinquante-cinq postes, alors qu’il annonçait des profits record pour 2008. De Besancenot à Laurent Wauquier du gouvernement, la condamnation s’élève et le simplisme de l’approche sert les intérêts de chaque camp politique.
Une belle tête de bouc émissaire à laquelle faire tirer la langue au bout d’une pique en ces temps prérévolutionnaires : Frédéric de Margerie devrait se méfier en sortant de chez lui.
Le PDG de Total est l’objet d’un consensus politique qui descend en flamme son projet de dégraisser la bête multinationale de cinq cent cinquante-cinq postes, alors qu’il annonçait des profits record pour 2008. De Besancenot à Laurent Wauquier du gouvernement, la condamnation s’élève et le simplisme de l’approche sert les intérêts de chaque camp politique.
Le PDG de Total est l’objet d’un consensus politique qui descend en flamme son projet de dégraisser la bête multinationale de cinq cent cinquante-cinq postes, alors qu’il annonçait des profits record pour 2008. De Besancenot à Laurent Wauquier du gouvernement, la condamnation s’élève et le simplisme de l’approche sert les intérêts de chaque camp politique.