
Le PDG de Total est l’objet d’un consensus politique qui descend en flamme son projet de dégraisser la bête multinationale de cinq cent cinquante-cinq postes, alors qu’il annonçait des profits record pour 2008. De Besancenot à Laurent Wauquier du gouvernement, la condamnation s’élève et le simplisme de l’approche sert les intérêts de chaque camp politique.