L'université de Toulouse-Le Mirail s'inquiète notamment de la baisse de ses effectifs passés de 24 000 en 2008, à 21 000 cette année. De manière générale, on peut constater une baisse du nombre de bachelier. Cela dit cet élément ne suffit pas à expliquer la baisse d'inscrit dans certaines universités. Les universités en France n'aura perdu que 0,7 % d'inscriptions. Et certaines sont pleines à craquer.
Sur le plan financier, moins d'inscrit entraîne une baisse des crédits alloués aux universités. De plus les entreprises qui investissent pourrait se détourner des universités. Marc Gontard, le président de Rennes-II confiait à nos confrères de 20 minutes que c'était une de ses craintes. La ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, la partage.