un peuple envois de disparition

Pour 3.5 millions de musulmans Rohingya de l'État d'Arakan en Birmanie, l'histoire s'est révélée être un instrument pour leur faire subir les pires violations des droits humains comme la dénégation de citoyenneté, une interdiction sur le mariage sans permission gouvernementale, restrictions sévères de mouvement, persécution religieuse, extorsion, confiscation de terre et restrictions de l'accès à l'éducation etc.

Médecins Sans Frontières (MSF), qui travaille dans le nord de l' état d'arakan et qui travaille aussi dans les camps de réfugiés Rohingya au Bangladesh, a décrit le Rohingya comme une des dix populations mondiales  en danger d'extinction.

En prenant  l'histoire des Rohingyas  et en dénaturant les dossiers du passé glorieux de Rohingyas dans la société multiculturelle Arakan qui remonte au 7ème siècle, le régime militaire birman et la majorité de Rakhines de l'État Arakan marque les Rohingyas comme les 'immigrants bengalais’ venant du  temps du gouvernement britannique, il était que les Bengalis  et les Indiens de l'Inde (maintenant le Pakistan, l'Inde et le Bangladesh) était apporté dans la nation par les britaniques. Les britanniques ont gouvernés l'État Rakine (Arakan) pendant 123 ans à partir de 1827 à 1948. Pendant cette période, les Bengalis sont entrés dans la nation en masse.’Déclaration dans : la Nouvelle Lumière du Myanmar, un papier de nouvelles contrôlé par l'Etat du régime militaire birman, a daté le 30 janvier 2009.

La diversitée religieuse et d'éthnie dérange la junte de l'union du myannar et cherche à se débarasser  d'éthnie
minoritaire comme les Rohingya.

La junte birmane dit par exemple que le mot rohingya aurait été inventé dans les années 50 et sortis de nul part.
Mais un receuille des langues parlées en birmanie et écrit en 1799 par francis buchanan relève le nom rooinga ce qui prouve que le nom de cette ethnie ne date pas de 1950 et que seul l'écriture a évoluée.

Le pouvoir militaire birman (comme ses amis chinois avec le tibet) transforme l'histoire pour cacher son netoyage
éthnique aux yeux de tous.