En effet, l'auteur demande de ne pas publier de chronique avant le 1er avril, on impose de placer un lien vers un certain site, qui est celui de l'éditeur, et si les conditions ne sont pas acceptées, on avertit charitablement que cela marquera la fin de toute collaboration.
Réaction saine du blogueur : protester. Et surtout contester. Et publier un sacré billet où il explique sa situation. Une vrai bonheur.
Et c'est là qu'au marketing, on tremble un peu : d'abord, on signale que la lettre est tronquée, puisqu'il manque la mention « Si vous avez des questions n'hésitez pas. » Et puis on réfléchit et finalement un nouvel email tombe. Hilarant. « Je voulais simplement dire que je suis désolé d'avoir offensé qui que ce soit avec mon courrier. Je réalise maintenant que cela avait quelque chose de condescendant, alors qu'il avait pour but d'être ironique. Clairement, le ton s'est perdu. »
S'ensuivent d'autres explications sur l'embargo, puisque le livre était paru le 25 mars. Amusant non ?