Les « veuves de l’amiante » ont manifesté une nouvelle fois à Dunkerque pour obtenir le jugement des « empoisonneurs au pénal » après avoir cessé de défiler en janvier 2006, fort de la promesse du ministre de l’Intérieur de l’époque de la création d’une cellule d’enquête de la gendarmerie spécialisée dans les affaires d’amiante.
Trois ans plus tard, les familles reprennent leur revendication, celle de la tenue d’un procès au pénal de l’amiante qui, selon les dernières informations qui leur ont été données,ne pourrait pas se tenir avant 2014, or le président de leur association régionale de défense se demande combien d’entre eux seront encore envie pour assister à l’audience, si le procès a bien lieu.
L’amiante est encore présente un peu partout, malgré les efforts faits pour l’éliminer et il semble de plus en plus improbable de trouver « les empoisonneurs « qui méritent une sanction pénale.