Horloges, télécommandes et appareils photo sont des exemples qui nécessitent l’emploi de piles. Bien qu’il existe des alternatives rechargeables, bon nombre de Québécois préfèrent le jetable.
Comment réduire son empreinte écologique et ainsi éviter la propagation du « virus »?
Source de la photo : http://www.trt.net.tr/medya/resim/2009/01/28/fbd8945c-de2c-4e99-90c5-52c7c56408f1.jpg
L’attrait du rechargeable
En 2002, 43 millions de piles jetables et près d’un million de piles rechargeables ont pris le chemin des dépotoirs québécois, provoquant ainsi de lourdes conséquences sur l’environnement. Ce sont principalement les métaux contenus dans les piles usées qui sont dangereux : ceux-ci se répandent dans le sol et peuvent ensuite être absorbés par les êtres vivants, sans compter que la fabrication des piles nécessite une consommation considérable d’énergie et de matériaux non renouvelables, dont l’aluminium, le fer, le lithium et le zinc .
Durée de vie mille fois plus longue!
Contrairement à la pile jetable, la rechargeable peut être réutilisée jusqu’à mille fois. En fait, sa durée de vie est d’environ 5 ans. De plus, il est possible de réusiner certains métaux contenus dans la pile rechargeable pour la création de nouvelles piles ou la fabrication d’acier inoxydable. Qu’elles soient rechargeables ou non, lorsque les piles sont usées, il suffit de les déposer à l’écocentre ou dans les locaux de certaines compagnies. Pour savoir où sont les points de chute dans votre région, n’hésitez pas à téléphoner à votre municipalité. C’est sa responsabilité de guider les citoyens soucieux de préserver l’environnement!
Bien que l’idéal reste de limiter l’utilisation des appareils à piles, la solution la plus écologique pour préserver l’environnement s’avère évidemment les piles rechargeables. Vous réduisez ainsi les déchets pour le plus grand avantage des générations futures. Une manière de tomber pile en matière d’énergie!