Le journalisme est un métier noble, passionnant, mais risqué. Et le journaliste de "LaPresse", Mourad Bouzidi, confirme le dernier point puisqu'il risque sérieusement sa crédibilité, pour ne pas dire son avenir journalistique. Voici pourquoi :
Comme le sait une grande partie entre vous, un concert de Metal aurait du avoir lieu le 4 avril dernier, à l'Acropolium de Carthage. Il devait avoir pour protagonistes, le groupe anglais Anathema, les tunisiens de Carthagods, épaulé par Fabio Lione au chant.
Malheureusement, pour des raisons toujours floues, ce concert fut reporté pour être, plus tard, complètement annulé. Et personne n'a joué à l'Acropolium ce soir là ...
Et pourtant, dans le numéro du samedi 11 avril 2009, on peut lire l'article suivant intitulé "Une symphonie électrique" :
Cette prouesse journalistique monumentale me laisse pantois. Heureusement que le ridicule ne tue pas. Mais là, il est poussé à son paroxysme, et ça craint ...
Tout naturellement, je suis allé googler pour avoir plus d'informations sur le sieur Bouzidi et il s'est avéré être, également, le chargé de la communication du Festival Méditéranéen de la Guitare dont le directeur n'est autre que ... Hichem Hemrit ...