D'ombres et de lumièresQuand seule, perdue dans un absolu désert,Cette désuétude qui m'entrait dans le cœur,Vois-tu, était celle d'une enflure de misères,Celle qui n'a de place, hélas ! que pour les pleurs.Sans rien voir du dehors, j'enfermais mes plaies,Dans l'espoir qui n'a de mot dans l'abandon,Mais renaît à l'étreinte, quand celle-ci plaît ;Et, éperdu, fou, il ouvre la brèche du pardon.J'ai alors vu l'azur dans le soir qui succombe,Dans tes beaux yeux bleus une myriade d'étoiles,Et des lueurs de vie dans le noir de la tombe,Sous (...)