Environ 25 étudiants du Lycée Français Rene Descartes à phnom pen (capitale du cambodge) ont protestés ce matin contre l'expultion 20 résidants viant dans les
alentours de l'ambassade de france. Ensemble, ils ont demandé que l'ambassade française respecte les droits des résidents - dont certains vivent ici depuis 30 ans. Raimondo Pietet, un
étudiant et un organisateur de cette manifestation, a dit que les gens étaient enlevés de force avec des compensations insuffisantes et seraient donc incapables de construires de
nouvelles maisons.
Le gouvernement du cambodge n'aurait jamais délivré d'autorisation d'expultion. Sok Chenda, 54, qui vit ici depuis 1979, a dit, "je suis vraiment fier des étudiants français. Ils sont
très jeunes, mais ils savent ce qui est juste ou non."
Un autre résident, Khil Seur, 56, a dit que les résidents locaux étaient devenus une partie intégrande de la communauté scolaire connaissant les lyceens de puis leur
plus jeune age et ce qui a poussé les manifestants étudiants. "Les étudiants ont rejoint la protestation parce qu'ils savent que c'est une injustice de nous expulser. Certains
d'entre eux ont fait leur solarités ici depuis qu'ils ont enfants et ils nous voyaient toujours.
Sok Penh Vuth.", le député du district de Penh Daun et le fonctionnaire qui a ordonné l'interdiction aux résidents d'aller dansleurs vieilles maisons, ont écartés la
manifestations, en disant que les étudiants étaient trop jeunes.
"Les étudiants qui ont protesté ce matin sont trop jeunes, environ 15 ans. Ils ne comprennent pas beaucoup de chose de cette région et ils comprennent mal que nous forçons des résidents à
partir,"
le président de l'association parentale de l'école a dit que l'ambassade française n'était pas responsable des méthodes d'expulsion entreprises par les autorités cambodgiennes. Les résidents
expulsés doivent être déplacer dans le village Thnot Chrum ,pres de la commune de Boeung Tumpum ,et que beaucoup de résidents habitants près de l'école internationale
disent être constamment inondés. Un porte-parole de l'ambassade française était non disponible pour tou commentaire jeudi parce qu'elle voyageait à l'étranger.
La raison exacte de l'expultion des résidants habitants dans le voisinage du lycée ne sont pas franchement claire et l'implication de l'ambassade de france non-plus.
Mais une fois encore se sont des jeunes lycéens qui n'hésitent pas à descendre dans la rue pour deffendre des droits
d'autres personnes.