Les entreprises regrettent toutefois l’inadéquation entre les qualifications et les besoins. « Le manque de mobilité ne facilite pas l’adéquation, explique Cédric Leva, directeur de l’OTT. L’insuffisance des transports en commun en banlieue pénalise les déplacements des jeunes. » Enfin, l’étude montre un écart de deux mois dans l’accès au premier emploi en défaveur des jeunes résidant dans les ZUS.
Source: http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/10803/les-jeunes-estiment-que-l-interim-est-un-vecteur-d-insertion-professionnelle.html