Elle a ajouté qu'une disposition prévoyait initialement qu'en cas de son éviction du directoire, M. Beaufret pouvait bénéficier d'une indemnité équivalente à deux ans et demi de salaire, soit 1,5 million.
Mais d'un commun accord avec la direction de Natixis, M. Beaufret a décidé de limiter son indemnité transactionnelle de départ à 300.000 euros.