C'était il y a un an... Ecoutez bien et regardez attentivement : le général et l'ambassadeur semblaient avoir déjà compris que le sénateur qui les interroge est leur futur Commander in Chief.
Pour le reste, c'est la prudence qui est de mise, des deux côtés. Et on comprend aujourd'hui pourquoi. Un an après, malgré les engagements de retrait, rien n'est encore acquis. Obama a demandé à peu près la même rallonge annuelle que son prédécesseur aux mêmes époques de l'année. Nouveauté fort inquiétante : Obama promet qu'il ne présentera pas d'autre demande. On sait, l'histoire nous l'enseigne, ce que cela veut dire : exactement le contraire.