Issu d’une famille de musiciens, Romain craque très tôt pour le synthé de son grand-père. C’est ainsi qu’à 6 ans – la frimousse enfantine faisant régulièrement fondre les grands-parents – le jeune Romain se voit offrir cet instrument étonnant qui deviendra bientôt son âme sœur… Merci grand-père ! De “Au clair de la lune” aux douces comptines de notre enfance, Romain fait ses premières armes et se familiarise avec son nouveau copain : le clavier. Un alter-ego qui ne le quittera plus. Il s’essaye alors à diverses reproductions – de Jean -Michel Jarre, Vangelis et Abba (entre autres) –et parvient, en 2005, après une nuit sans sommeil, à sortir, du fond de ses tripes, sa toute première composition. “Ce jour-là, j’ai senti l’appel de mon synthé”, nous confie t-il. Également passionné de cinéma, son coup de foudre pour le film de Richard Kelly, “Donnie Darko”, lui inspirera son nom d’artiste : Donny Starks. Et le voilà parti pour une aventure musicale et cinématographique enflammée.
À 27 ans, aujourd’hui auteur de 2 albums (dont un troisième en préparation : Projet Véga), 26 compositions, 3 remixs ,7 clips, 2 scénarios et 4 bandes originales, Donny Starks affirme sa détermination et sa passion pour une musique qui est devenue “sa raison de vivre”. Une inspiration en provenance directe de l’univers synthétique, dans un style électro/ambient, virant, au fil du temps, vers un “feel” plus clubbing.
Ses maîtres – Jean Michel Jarre, Vangelis, Enigma, Deep Forest, Angelo Badalamenti, Dylan Drazen, Timo Mass, Armin van Buuren, Tiesto – lui auront donné la force et la foi pour nous faire vibrer au son de ses émotions…
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Interview réalisée par A/S Rédactionnel