Les CFD sont soumis au même régime fiscal que les warrants. Les plus-values sur CFD sont donc imposées, dès le premier euro, au taux forfaitaire de 18%, plus 12,1% de prélèvements sociaux.
Ces derniers sont dus à l'automne et non avec l'impôt sur le revenu. Contrairement aux actions, il n'y a pas de seuil de cessions dont le franchissement déclenche l'imposition. En revanche, les moins-values réalisées sur des CFD peuvent s'imputer sur des plus-values réalisées sur des actions ou des Sicav. La réciproque est aussi valable.
Par ailleurs, les pertes constatées peuvent même être reportées pendant dix ans.