le fléau qui déruit les jeunes thailandaises.

Publié le 08 avril 2009 par Macbran
si la lutte contre le tourisme sexuel s'intensifie, le fléau semble se répandre et même se développer à une échelle beaucoup plus rapide  et cela depuis la guerre du vietnam ou les soldats americains venaient passer leurs permission dans des endroits comme pattay. Sans compter que l'industrie du sexe rapporte à la Thaïlande cinq à six fois plus que les recettes de la drogue, soit entre 18 et 21 milliards de dollars américains en 1996. Dans ces conditions, comment croire que les plus de  60.000 bordels que compterait le Royaume pourraient disparaître dans un futur proche?

  

Pour ceux qui ne comprendraientt pas bien ce qui ce passe en thailand mais aussi les pays au alentours voici  l'exemple de Lamphan, jeune Thaïlandaise de 15 ans originaire de la province du Nord-Est (i-san), vendue par sa grand-mère à un tenancier de bordel de Bangkok. Séquestrée, battue, Lamphan ne voulait qu'une seule chose : mourir. Elle a essayé de se suicider mais ses geôliers ont réussi à l'en empêcher, et le patron du bordel de lui répéter : " Je t'ai acheté et je peux faire tout ce que je veux avec toi ". Et Lamphan de préciser qu'au-delà de l'esclavage sexuel il y a d'abord le souci de nier l'humanité : " Ils ont essayé de briser mon esprit. Ils ont dit qu'ils veulent m'apprendre que je dois faire tout ce qu'ils veulent, immédiatement, sans penser. Ensuite, ils m'ont affamé. Ils m'enfermeront pendant deux jours sans me donner à manger, seulement de l'eau, et ils m'ont dit qu'ils me redonneront de la nourriture seulement lorsque je serais d'accord pour faire ce qu'ils veulent. Puis, ils m'ont apporté une assiette pleine de merde.

De la merde de chien. Ils m'ont dit qu'il fallait que je la mange. Je ne voulais pas, et ils m'ont donc dit qu'ils vont me forcer à la manger. Ils voulaient montrer qu'il était inutile de résister " (Cité in Kristof, WuDunn, 2000 : 141).

 Le proxénète est  le capitaliste de l'extreme ,faire de l'argent sans se soucier des conséquences .
detruire l'esprit d'un être que l'on opprime jusqu'qua ce qu'il fasse ce qu'on lui dise de faire sans reflechir et sans ouvrire sa gueule : Lamphan s'est échappée (après avoir été re-livrée par la police au patron du bordel une première fois…) et n'a pas été contractée par le virus du Sida, une aubaine, et c'est déjà ça comparée à toutes les autres qui n'ont pas eu cette " chance "… Elle retournera pourtant à Bangkok, pour travailler dans une usine, car - une fois de plus - il n'y a pas d'argent au village… 

Des personnes dénonce avec force et raison les partenariats et les complicitees évidentes entre l'industrie du sexe et l'ensemble du secteur économique (auquel participe fortement le tourisme).
Combien de société qui organise des tourismes d'affaires font passer les hommes d'affaires par des bordels.
biensur si vous interrogez l'un et l'autre , personnes ne comprend le mot bordel et personnes n'a vu de prostituées à bangkok. 
 
 
l'industrie du sexe s'enrichit sur la misère du monde et représente en Thaïlande la plus importante économie souterraine : le revenu annuel de ce secteur est évalué, en 1998, entre 22,5 et 27 milliards de dollars américains, soit 10 à 14 % du PNB (Courrier du Vietnam, 1998 : 6). Une forte hausse en moins de deux ans !
 le journaliste Heather Montgomery relève suite à une enquête réalisée auprès des enfants prostitués en Thaïlande que " cette exploitation n'est pas advenue par la prostitution mais du fait de la pauvreté générale et de l'exclusion sociale " (Montgomery, 1998 : 149).

L'Etat, selon lui, s'est montré parfaitement incapable de s'occuper de " ses " enfants, explique l'auteur, des enfants-victimes qu'il faudrait savoir écouter avant de toujours vouloir parler à leur place, y compris dans le domaine sensible de la lutte contre la prostitution enfantine. En ce sens, cet auteur rejoint le chercheur thaïlandais Ing qui, dix ans avant lui, accusait sans détours l'Etat thaïlandais de proxénétisme compte tenu notamment du pouvoir absolu de la police, de la corruption généralisée et des liens  entre les forces de l'ordre et le milieu mafieux de la prostitution (Ing, 1990 : 160). Dans ce domaine également, peu de choses semblent avoir changé en 2009.




Le quotidien Libération du 27 novembre 1998 rapporte qu'une étude du Bureau International du Travail (BIT) considère qu' " en Thaïlande les femmes qui se prostituent dans les villes rapatrient près de 300 millions de dollars, par an, dans les zones rurales : un montant souvent supérieur aux budgets de développement financés par le gouvernement ". Un dit " miracle " économique cependant éphémère dont la fragilité a éclaté au grand jour à compter de juillet 1997.

Nul doute, enfin, que pour stopper cette destruction de jeunes filles, on ne pourra le faire  sans prendre le problème à la base qui est l'igorance des thailandais des campagnes d'ou vient la majoritée des prostituées car ils penssent pratiquement tous que tout les européens sont plein d'argent et trouver un homme européen devient le but ultime de bon nombre de jeunes filles thalandaises (il n'y a cas regarder dans les cyber cafés le nombre incroyable de c'est jeunes filles pretes a répondre à n'importe qu'elle petite annonce sans se soucier du danger car ignorant qu'il y a danger) ceux qui les entraines dans les bar à prostituées ou personnes ne va leur parler de sida,mafia,violence,esclavagisme. d'ailleurs je n'ais jamais entendus ses mots en discutant avec des thailandais au sujet de la prostitution en thailand. Et cela pour une raison bien simple ,qui est que malgrés les croyance  les plus gros  de prostituées en thailand ne sont pas les étranger mais les thailandais eux-même.