Code de la piraterie : Rowling bon exemple, mais achetez les livres
Publié le 08 avril 2009 par Actualitté
C'est manifestement dans les années 1650 et quelques tonneaux de rhum de plus qu'un pirate nommé Henry
Morgan va instaurer, dans la ville de Port-Royal, dans les Caraïbes, son code de la piraterie. Nous sommes en plein XVIIe siècle, et pour rester en dehors des règles de la société dont ils profitent, les pirates doivent se doter de leurs propres règles.
Hier, le site Gizmodo, a mis en ligne une sorte de Code similaire, qui ne se veut ni universel ni prosélyte, mais qui donne quelques règles à respecter pour profiter de ce que le réseau BitTorrent offre d'avantages. Bien évidemment, nous n'encourageons pas le piratage des oeuvres. En revanche, un des points évoqués n'a pas manqué de retenir notre attention.
L'article 6 de ce code évoque en effet J.K. Rowling. Et le propos tenu ne manque pas d'intérêt. Le cas de Rowling, on le sait est simple : la romancière refuse que ses livres soient diffusés en version électronique, devenant en quelque sorte la dernière des Mohicanes.
Et le Code dit en substance cela : les oeuvres de Rowling étant indisponibles en version numérique, les trouver sur le réseau BitTorrent donne une bonne raison de pratiquer le piratage. [NdR : Bien sûr, nous ne cautionnons pas cette idée] «
Mais notre conscience nous dicte que l'achat de livre permet de garder les bons écrivains en librairie. »
Intéressante idée, non, qu'il existerait pour les livres une sorte de cas à part dans l'esprit de ceux qui pratiquent le piratage...