La chronique de monster mamie

Publié le 16 mars 2009 par Monstershow

Ben oui, je sais, j'suis en retard
J'devais vous l'écrire avant ma chronique mais entre temps je me suis pris une biture et, à mon âge, on met du temps pour récupérer...
Et puis d'abord je fais ce que je veux, z'avez rien à me dire, j'vous em... (mais pas tous quand même)

P... quelle soirée mardi à la Cantada pour le Monster Show !
C'est d'abord qu'il faut savoir que ça existe ce truc.
Moi qui surfe sur la plateforme de blog.fr pour me délecter des malheurs des autres, vla-t-y pas qu'un jour j'tombe sur le MonsterShowblog.
Ni une ni quatre, j'enfile mes tiags et que j't'y fonce voir ça !

Pour bien commencer, ils sont à labour.
Et ça j'aime pas. Mais comme c'était la première fois que venais, je l'ai pas ouvert, j'suis resté dans mon coin et j'en ai profité pour gouter les absynthes de la carte.
Essayez vous aussi, vous m'en direz des nouvelles !

Une fois parti, c'est qu'ils y ont pas été de main morte ! Ca a commencé grave destroy avec une jeunette bien en chair et très coquette qui appelle son docteur pour lui raconter ses expériences sexuelles.
L'extase ! Du cul, du vrai, du cru, et plein d'humour et la fille avec une patate du tonnerre !
Après z'ont passé un film avec un pti jeune ki se défonce, que même par moments j'ai bien cru que c'était l'absynthe qui me jouait des tours mais qu'en fait c'était filmé flou exprès. De la caméra subjective qu'ils appellent ça et que ce serait un procédé pour mieux ressentir les sensations du personnage. Pour moi, ça a marché, j'avai l'impression d'être foncedé grave !
Pour suivre, me suis fendu la tronche devant les vacances de Francis Caïbrel (avec un trema, pas le chanteur campagnard à deux balles, son fils drogué).
Décidément, dans le drame ou dans le comique, j'adore cette jeunesse décadente qui se révolte par le sexe et la drogue, on se croirait presque à Woodstock !

J'ai un peu raté ce qui a suivi pour aller renvoyer mon repas dans les toilettes. Comme j'avai le ventre vide après ça, je me suis repris un coup d'absynthe et je suis redescendue pour la partie musicale.
Ultrazeen que c'était le groupe.
Juste un mec pour chanter, un autre pour la guitare. Pas besoin de plus, ça déchire mieux que dix verres d'absynthe ce groupe !
Le chanteur m'a rappelé celui de Scorpion avec sa casquette. Je me suis cru en plein survival !
Et ce bondieu de guitariste ! j'ai rêvé toute la nuit d'être une guitare pour pouvoir me pendre à son cou et qu'il me gratouille pendant des heures !

P... mes amis, quelle soirée !
Sûr, j'y retourne demain, et là je vais faire bien gaffe à ce que je mange avant pour rien rater.

Allez, on s'y retrouve ensemble, même endroit, même heure : bar la Cantada, 13 rue Moret dans le 11 à Paname.
Je vous embrasse pas, je sais pas à quoi vous ressemblez
Mais je vous aime (enfin... pas tous quand même)