D'abord, ce titre c'est n'importe quoi.
On est tous d'accord.
Ensuite, vous voyez la lecture supposément en cours, à gauche? C'est n'importe quoi aussi. En fait, chaque fois que je prends 5 minutes pour chercher l'image de la jaquette du livre que je lis, que je la mets en ligne: *paf* je suis frappée de la malédiction du PULEGOÛTDELELIRE. C'est comme ça. Alors le Wilt, il galère. Pas dépassée la page 10 je crois. Et je ne lui touche plus. Plus z'envie. Le pauvre, il pleure. Il crie: «touche-moi Charlie Bobine, encore!» et moi, je rigole en m'éloignant, un marque-page à la main (hou!) vers un autre que lui.
Comme nous en sommes là, vous et moi, je dois vous dire que je suis amoureuse.
Si. (Comment ça encore?)
OK. Quand j'ai dit que j'étais amoureuse de Passe-Montagne la semaine passée, ce n'était pas exactement la même chose. (Ah bon? Ce n'est pas à vous que je racontais ça?)
Voilà. Je suis amoureuse de Harry Dresden. J'aime son humour. J'aime sa dégaine. J'aime son esprit chevaleresque. (Oui, pendant qu'on y est, j'aime parfois me reposer sur un homme.) (Euh. je ne veux pas dire me reposer sans vêtements... (quoi que) je veux dire me reposer dans le sens de compter sur, voyez?!) Et j'aimerais être sauvée par Harry Dresden. (Oui, bon, le surnaturel et moi... disons des petits sauvetages, hein?) Bref.
(Comment ça je trahis Morelli? Pasdutout.)
Et autre constat: MAUDITETEMPÉRATUREDEMONDERRIÈRE.
Parce qu'il neige figurez-vous.
Je n'aime pas me réveiller avec le spectacle d'un tapis blanc les matins d'avril. Je déteste ça.