Les millions de lecteurs de Fortune de France pensaient que cette formidable saga s'était achevée avec la mort de Robert Merle, voilà cinq ans. Mais son fils Olivier a repris le flambeau, et surtout il a gagné son pari de rester fidèle à son modèle tout en affichant une originalité certaine. La documentation historique est remarquable, et il manie avec brio cette langue moderne mais truffée de vieux mots savoureux, que son père avait inventée.
En même temps, il nous propose une approche nouvelle de l'époque des guerres de Religion en abandonnant le point de vue aristocratique de Pierre de Siorac pour adopter celui de son valet Miroul. Une excellente surprise !