Qu'ils le redoutent ou qu'ils l'appellent de leurs voeux, les scientifiques en sont aujourd'hui certains : dans cinq ou dix ans, l'ADN ' lisible ' extrait des glaces de Sibérie rendra possible le clonage d'un mammouth. Son ADN est suffisamment bien conservé pour pouvoir en reconstituer les séquences, pas suffisamment pour être reproduit à la manière de ce qui a été accompli pour la brebis Dolly à partir de cellules vivantes. Et si les chercheurs s'évertuent à décrypter son génome, c'est d'abord, expliquent-ils, pour y trouver, à la manière des archéologues, des informations sur l'histoire de l'animal, ses origines, ses particularités… Oui, mais : une fois le génome décrypté, rien n'empêche d'imaginer que l'on puisse l'utiliser pour modifier les informations génétiques d'un embryon d'éléphant – qui est très proche – pour créer un mammouth.
Le clonage m'a toujours fasciné, peut-être est-ce de voir Jurassic park il a quelques années. Cependant, l'impensable est aujourd'hui possible. Redonner vie au Mammouth.
Qu'ils le redoutent ou qu'ils l'appellent de leurs voeux, les scientifiques en sont aujourd'hui certains : dans cinq ou dix ans, l'ADN ' lisible ' extrait des glaces de Sibérie rendra possible le clonage d'un mammouth. Son ADN est suffisamment bien conservé pour pouvoir en reconstituer les séquences, pas suffisamment pour être reproduit à la manière de ce qui a été accompli pour la brebis Dolly à partir de cellules vivantes. Et si les chercheurs s'évertuent à décrypter son génome, c'est d'abord, expliquent-ils, pour y trouver, à la manière des archéologues, des informations sur l'histoire de l'animal, ses origines, ses particularités… Oui, mais : une fois le génome décrypté, rien n'empêche d'imaginer que l'on puisse l'utiliser pour modifier les informations génétiques d'un embryon d'éléphant – qui est très proche – pour créer un mammouth.
Qu'ils le redoutent ou qu'ils l'appellent de leurs voeux, les scientifiques en sont aujourd'hui certains : dans cinq ou dix ans, l'ADN ' lisible ' extrait des glaces de Sibérie rendra possible le clonage d'un mammouth. Son ADN est suffisamment bien conservé pour pouvoir en reconstituer les séquences, pas suffisamment pour être reproduit à la manière de ce qui a été accompli pour la brebis Dolly à partir de cellules vivantes. Et si les chercheurs s'évertuent à décrypter son génome, c'est d'abord, expliquent-ils, pour y trouver, à la manière des archéologues, des informations sur l'histoire de l'animal, ses origines, ses particularités… Oui, mais : une fois le génome décrypté, rien n'empêche d'imaginer que l'on puisse l'utiliser pour modifier les informations génétiques d'un embryon d'éléphant – qui est très proche – pour créer un mammouth.