Magazine
Je viens de découvrir cette série il y a quelques jours, et de terminer hier soir la première saison. Cela faisait déjà quelque temps que mon meilleur pote m'en parlait. Il m'avait fait découvrir certains des spots promotionnels. Je dois dire que le côté sexe-drugs and Rock'n Roll était ce qui me rebutait à chaque fois de regarder cette série. Le côté auto-destructeur des personnages ajouté au côté trash. Mais comme je suis de ces personnes qui se disent "donnons lui une chance de faire ses preuves avant de critiquer"... Parce que je ne supporte pas les personnes qui critiquent selon ouï dire sans même avoir vue. Cela m'horripile au possible. Donc voilà, je me retrouve "obliger " de regarder le pilot. Habitude de sériephile (américaines à 95%) : le premier épisode d'une série est appelé Pilot car c'est un épisode test présenté à la chaîne qui décidera suite au visionnage si oui ou non elle en produira une saison complète. Or ici, production européenne oblige, nous avons plutôt tendance à penser une série dans sa globalité et nous n'avons pas ce côté "industriel" (une 10e d'épisodes grand max) ni le même budget... Cf SPOOKS (MI-5 en France) ou SKINS pour les anglais, ENGRENAGES ou MAFIOSA pour la France.Donc voilà, je retrouve dans le TGV Paris-Rennes à mater l'épisode 101 Tony sur mon macbook. Je trouvais d'ailleurs la situation assez coquace avec ces nibards qui se baladent à l'écran. Me demandant si quelqu'un derrière moi regardait l'écran... Soyons réalistes, généralement, il y a toujours un morceau de drap ou une plante verte pour planquer les diverses parties de notre anatomie quand elles apparaissent devant la caméra. Là que néni. Vive les nibards, pénis et autres lovely paires de fesses masculines, et tout ceci sans complexe. Spéciale dédicace au perso de Chris déambulant sans soucis en tenu d'Adan dans les rues de Bristol (dans l'épisode 104). C'est rafraîchissant de voir quelqu'un qui n'est pas complexé de se retrouver à poil, comparer à toutes ces séries américaines où les personnages sont outrés à la vue du moindre morceau de peau.Donc voilà, je suis dans le train et je me rappel de ce premier plan de la série : Tony au réveil dans son lit. Cette scène me rappel une du film américain Garden State où l'on découvre de dessus le héros se réveillant dans son lit immaculé (à l'image de la chambre) tiré à quatre épingles. Ici, petite touche Skinesque : le dessus de lit de Tony arbore un homme et une femme de face, complètement nue. Vive les anglais !!!
Voici la dernière scène de la saison une. Une reprise de la chanson de Cat Stevens : "Wild World", chanté par le cast de la série. Absolument génial. J'adore la voix de Mike Bailey (l'interprète de Sid).