Dans les parcs et jardins secoués par la tempête de janvier, certains espaces sont encore clos pour les visiteurs, travaux obligent. Et puis il y a aussi les remises en état normales, prévues de longue date. Au bout du compte, de relativement vastes espaces du Parc Bordelais sont délimités par des grillages à larges mailles. Les visiteurs n’ayant pas accès à ces coins merveilleux où l’herbe est tendre à souhait, nos amis les bêtes s’y sentent très à l’aise. De là à penser que l’animal préfère la cage à la liberté …
Je vois donc d’abord un petit lapin, bondissant, dressant sa petite queue blanche pile comme dans les dessins animés pour enfants. Puis deux lapins, qui se tapent un tea-time fort copieux. Puis trois lapins, tout aussi vifs et toniques les uns que les autres.
Des lapins, il y en a tant et si bien que même quand on veut immortaliser l’écureuil de passage, un lapinou se retrouve dans le champ. Imparable.
éÊÉÉ
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