Il s'est donc trouvé 24 % de ceux et celles qui ont répondu pour rendre responsable la crise économique et financière des maux que connaît notre ville. Je ne referai pas la démonstration si bien faite par Michel Doucet. Le temps viendra où on lui rendra justice d'avoir ouvert les yeux des élus et des contribuables qui comprendront, cet automne, combien il sera douloureux de payer la facture du train de vie de cette municipalité.
Au-delà des différences d'appréciations, je remercie les 100 % de personnes qui se sont intéressées à la question et ont ainsi manifesté leur goût pour le débat public. Je renouvellerai cette expérience en d'autres occasions.