Au moment de son retour prochain aux Etats-Unis, une leçon majeure : sur le plan international le nouveau Président multiplie des gestes de relations extérieures à l'opposé des attitudes de GW Bush.
Il est prêté à Robert Kennedy d'avoir institutionnalisé pendant la campagne victorieuse de 1960 une technique simple :
- ouvrir un dossier,
- écrire le comportement d'un décideur "classique",
- puis écrire l'opposé de ce comportement et voir s'il pouvait être tenu persuadé alors de l'originalité du positionnement.
C'est à se demander si dans l'équipe de Barack Obama cette technique n'a pas été appliquée en prenant comme référence l'attitude classique de GW Bush et en choisissant l'opposé ... ?
Il a construit son déplacement en Europe à l'opposé des choix de Bush certes dans le contenu mais surtout dans la forme tout particulièrement en allant à ce point à la rencontre du public.