Dans mon article précédent, qui a été inspiré par la possible disparition de la géométrie dans les programmes du lycée, je posais la qestion de savoir si l'homme était aujourd'hui "sapiens absolutis", c'est à dire qu'il développe encore seul et de façon absolue les outils de la recherche scientifique ou bien s'il est devenu "numericus relativis", c'est à dire, qu'en gros il ne peut dorénavant que faire intervenir le monde numérique dans toute avancée de la connaissance, le savoir nouveau n'étant presque plus accessible directement mais étant impérativement médiatisé par la machine et le monde numérique.
La question peut paraître un…