- je n'ai pas mon permis sur moi (resté avec les papiers de la voiture que j'ai laissé à Celuiquipartagemavie à Lyon...),
- je n'ai pas les papiers du véhicule (restés dans la sacoche de boulot du padre...),
- je roulais à 60 en ville (c'est dix kilomètres au dessus de la limite),
- j'ai bu 1 bière et demie (je ne suis pas positive, mais pas négative non plus...),
- la gendarmerie est réputée plus sévère que la police,
- c'est une "madame gendarme" qui m'arrête, les "madames officiers" sont réputées plus sévères que les môssieurs...
Magazine
Tout est dans le titre !
(Note-pour-plus-tard : penser à jouer à l'Euromillion cette semaine !)
Ce soir, je devais rejoindre une amie pour passer une soirée "entre nanas" sur Lille.
Rendez-vous était fixé à 20h30 mais elle m'appelle peu de temps avant que je parte pour me demander d'arriver plutôt vers 21h30.
Pour l'anecdote : cette amie est médecin (toujours mes amies dévalorisantes...) et une patiente est arrivée à la fermeture de son cabinet (20h00) pour une urgence : elle n'a pas été aux toilettes depuis trois semaines...
Mon amie a pensé, tout comme vous et moi :
"Chiotte (c'est le cas de le dire), elle n'était plus à demain près...".
Encore un cas qui fait que mon amie n'en peut plus d'être médecin généraliste et pense reprendre une spécialisation hospitalière...
M'enfin bref...
On discute, on fume, on boit... (oui, les médecins ne font pas forcément ce qu'ils disent de faire...).
Je reprends la route.
Étant arrivée dans le nord en train, j'ai emprunté la voiture de mon père...
A 1h00 du mat', sur une route déserte, je me fais arrêter par la gendarmerie nationale.
En deux secondes, mon cerveau -pourtant fatigué- analyse cependant très bien la situation :