Près de 4000 villes dans 88 pays se sont mobilisées pour l’édition 2009 d’Earth Hour.
375 monuments symboliques comme le Christ de Rio, la Tour Eiffel, les Pyramides de Gizeh, l’Acropole d’Athènes, l’Alhambra de Grenade, Big Ben, le Louvre et bien d’autres ont été plongés dans l’obscurité pendant une heure.
En France, pas moins de 200 villes ont éteint leurs monuments . A Paris , en présence de Jean-Louis Borloo , ministre d’Etat de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de l’aménagement du territoire ainsi que de Chantal Jouanno , Secrétaire d’Etat en charge de l’Ecologie, de Denis Baupin et Jean-Bernard Bros , adjoints au maire de Paris respectivement en charge du Développement durable et du tourisme, Serge Orru , DG du WWF-France et Jim Leape , DG du WWF-International ont symboliquement éteint la Tour Eiffel, ainsi que 230 autres monuments parisiens comme l’Arc de Triomphe, Notre-Dame de Paris, Le Sacré Cœur, le Panthéon, l’Hôtel des Invalides, les fontaines de la Concorde, etc.
Sur le parvis des Droits de l’Homme, Serge Orru a rappelé : « ce soir, c’est un signal d’encouragement que nous adressons à l’ensemble des gouvernements qui vont décider du sort du climat dans huit mois à Copenhague. Ce n’est qu’un début car nous ferons notre possible pour aider à sortir de la mondialisation des égoïsmes pour retrouver un mouvement de solidarité planétaire. Nous ne pouvons nous en sortir que collectivement ».
Pour sa part, Jim Leape, DG du WWF-International a mis l’accent sur le fait que « l’objectif d’Earth Hour est de montrer le degré de conscience de l’opinion mondiale sur la question climatique. Devant le succès mondial, le message est clair : Nous attendons des décideurs qu’ils prennent leur responsabilité afin d’obtenir à Copenhague un accord ambitieux qui puisse permettre de protéger notre planète ».
A l’échelle du territoire national, Earth Hour a représenté une économie 1 % de la consommation d’électricité métropolitaine soit 800 mégawatts ou 13 millions d’ampoules de 60 Watts arrêtées simultanément. Cela équivaut à la consommation journalière d’une ville comme Lyon qui compte plus d’un million d’habitants.
Dimanche 29 mars, à Bonn où la communauté internationale a lancé le cycle de négociations sur le climat qui vise à parvenir à un accord à Copenhague, Yvo de Boer, chef de la mission Climat de l’ONU, a exhorté les délégations des 190 pays à prendre en considération « la voix de la planète » qui s’est exprimée la veille lors de cet événement historique. Le matin même, Ban Ki Moon, avait décrit Earth Hour comme la plus grande manifestation en faveur de la lutte contre les dérèglements climatiques .
Earth Hour 2009 : Un grand succès !
Près de 4000 villes dans 88 pays se sont mobilisées pour l’édition 2009 d’Earth Hour.
375 monuments symboliques comme le Christ de Rio, la Tour Eiffel, les Pyramides de Gizeh, l’Acropole d’Athènes, l’Alhambra de Grenade, Big Ben, le Louvre et bien d’autres ont été plongés dans l’obscurité pendant une heure.
En France, pas moins de 200 villes ont éteint leurs monuments . A Paris , en présence de Jean-Louis Borloo , ministre d’Etat de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de l’aménagement du territoire ainsi que de Chantal Jouanno , Secrétaire d’Etat en charge de l’Ecologie, de Denis Baupin et Jean-Bernard Bros , adjoints au maire de Paris respectivement en charge du Développement durable et du tourisme, Serge Orru , DG du WWF-France et Jim Leape , DG du WWF-International ont symboliquement éteint la Tour Eiffel, ainsi que 230 autres monuments parisiens comme l’Arc de Triomphe, Notre-Dame de Paris, Le Sacré Cœur, le Panthéon, l’Hôtel des Invalides, les fontaines de la Concorde, etc.
Sur le parvis des Droits de l’Homme, Serge Orru a rappelé : « ce soir, c’est un signal d’encouragement que nous adressons à l’ensemble des gouvernements qui vont décider du sort du climat dans huit mois à Copenhague. Ce n’est qu’un début car nous ferons notre possible pour aider à sortir de la mondialisation des égoïsmes pour retrouver un mouvement de solidarité planétaire. Nous ne pouvons nous en sortir que collectivement ».
Pour sa part, Jim Leape, DG du WWF-International a mis l’accent sur le fait que « l’objectif d’Earth Hour est de montrer le degré de conscience de l’opinion mondiale sur la question climatique. Devant le succès mondial, le message est clair : Nous attendons des décideurs qu’ils prennent leur responsabilité afin d’obtenir à Copenhague un accord ambitieux qui puisse permettre de protéger notre planète ».
A l’échelle du territoire national, Earth Hour a représenté une économie 1 % de la consommation d’électricité métropolitaine soit 800 mégawatts ou 13 millions d’ampoules de 60 Watts arrêtées simultanément. Cela équivaut à la consommation journalière d’une ville comme Lyon qui compte plus d’un million d’habitants.
Dimanche 29 mars, à Bonn où la communauté internationale a lancé le cycle de négociations sur le climat qui vise à parvenir à un accord à Copenhague, Yvo de Boer, chef de la mission Climat de l’ONU, a exhorté les délégations des 190 pays à prendre en considération « la voix de la planète » qui s’est exprimée la veille lors de cet événement historique. Le matin même, Ban Ki Moon, avait décrit Earth Hour comme la plus grande manifestation en faveur de la lutte contre les dérèglements climatiques .