Je piaffe de savoir ce qu'elles ont donné, ces 102 heures passées "avec" d'autres . Je piaffe de sentir dans ses yeux, de lire sur son visage ce que ces 102 heures "avec" ont à raconter, même si nous savons le gaillard assez taiseux de ses émotions, pour ne pas dire radin.
Je suis heureux qu'il ait vécu cela. Il nous a manqué. Mais de ces manques sereins, parce que l'on a confiance.
Je lui souhaite que ces 102 heures aient été magiques, que dans quelques années, décennies, elles seront précieusement rangées dans la malle aux meilleurs souvenirs, qu'elles seront une mémoire douce. C'est que ça fait aussi 6 120 minutes, cette affaire. [Le point de départ est ici].