Mais lui, David, cette récompense qui est censée reconnaître les services exceptionnels d'une personnalité rendus à la France, qu'en pense-t-il ? « Je vois cette médaille comme un talisman, une amulette aux pouvoirs magiques qui opère tel un bouclier contre la répression. »
Lui qui fut président du jury de Cannes en 1999 conserve un souvenir ému : « La France a toujours compris la complexité de la démarche artistique - la tension qui existe entre la sauvagerie innée de l'art et l'ordre de la société. » Bon, en plein Hadopi, le moment n'est pas forcément le mieux choisi, mais ça fait rudement plaisir.
Si vous n'avez rien vu de Cronenberg, vous pourriez commencer par Le Festn nu, directement inspiré du livre de William Burroughs... Au fait, des nouvelles de son prochain roman ?