Le président du CICR, Jakob Kellenberger était il y a peu en Irak pour un constat : six ans après le début des hostilités la situation demeure critique pour la population irakienne.
Dans ce conflit, le CICR a payé un lourd tribut comme l’attentat contre sa délégation à Bagdad en octobre 2003 ou encore la mort de plusieurs de ses collaborateurs.
Cette insécurité avait poussé l’institution à réduire de façon drastique sa présence permanente d’expatriés et décidait d’installer sa délégation à Amman en Jordanie pour poursuivre la coordination de ses programmes d’assistance et de protection.
Depuis plusieurs mois, la situation sécuritaire semblant s’améliorer, le CICR redéploie ses personnels expatriés dans un contexte qui reste l’une des plus grosses opérations humanitaires en cours.
J’ai joint Jean-Pierre, chef de la délégation du CICR en Irak :itw-jean-pierre-schaerer-hod-cicr-bagdad.1238680124.mp3Le point sur les activités du CICR en Irak, ici.
A réécouter, le témoignage de Roland Huguenin-Benjamin à l’époque porte du CICR à Bagdad au moment de la chute de la capitale irakienne en 2003
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