1er avril 2009 : massive attaque de virus chez mémé kamizole

Publié le 03 avril 2009 par Kamizole

On s’attendait paraît-il au méga virus du siècle sur nos ordinateurs. Rien vu sur le mien qui n’a pas besoin de cela pour dysfonctionner à pleins tubes ! En revanche, les virus au sens médical du terme, me sautent sur le râble plus souvent qu’à mon tour. Je vous en passe la litanie, les plus graves étant celui de l’herpès oculaire (récidivant !) et de l’hépatite C. Encore ais-je eu de la chance, qu’au moment de cette contamination par transfusion, celui du Sida ne sévît pas encore ! et qu’ayant été fort virulent à l’époque il n’ait laissé aucune trace dans mon organisme.

Depuis lundi ou mardi je n’étais pas vraiment dans mon assiette. J’incriminais plutôt une nouvelle allergie (printanière, cette fois) due à la fenêtre ouverte. Mais mercredi, impossible de se tromper : une nouvelle «crève» virale… tout étant atteint comme il se doit, de la sphère ORL aux yeux qui pleurent jusqu’aux bronches.

Avec heureusement le recours de ma petite pharmacopée homéopathique qui, à défaut de tout guérir sur le champ, atténue la durée des sympômes.

J’avais invitée une amie à déjeuner ce mercredi. Nulle envie de le remettre et j’avais pu monter faire des courses au Franprix. Tout se passa pour le mieux et à l’issue du repas, elle me dit «toi, tu ferais mieux d’aller te coucher»… On est sans façon chez mémé Kamizole et c’est ainsi que j’aime les choses.

Je ne pouvais incriminer la boisson, ayant été – relativement – sage. Toujours est-il que j’ai suivi son conseil et dormi d’environ 16 h jusqu’à un peu plus de 8 h jeudi matin. Je ne vous raconte pas tous les délires qui ont traversé mes rêves agités. J’y ai même beaucoup écrit et réécrit des textes. Cela m’arrive ainsi parfois de tenir mon blog de façon purement onirique.

Toujours est-il que je n’ai pas fait grand chose de ma matinée, et que je me suis contentée de mettre en ligne des textes qui étaient déjà peu ou prou écrits et qu’ensuite je me suis recouchée pour une très longue sieste.

A mon réveil, j’eus la surprise de trouver à côté de mon lit un chat qui n’était pas le mien… Je vous assure, je ne délirais plus ! mais Taï-Taï, le chartreux de mes voisins du rez-de-chaussée… quant à Tubarào, que je tenais serrée depuis quasi 3 jours pour cause de «chaleurs» félines, calmées par la pilule, aucune trace ! Je ne sais comment le chat est entré, sans doute la porte n’était-elle pas aussi bien fermée que je le supposais.

J’espère que Tuba, revenue depuis au bercail, ne s’est pas fait tringler par un matou du voisinage. En tout cas, elle feule toujours autant. Nulle envie de me coltiner une portée.