Souvenez vous, les vacances près de Washington, la précipitation du nouveau locataire de l'Elysée pour être reçu à la Maison-Blanche, la réception hot-dogs sans Cécilia avec le pire Président que l'Amérique ait jamais connu.
Quand on est vautour, qu'importe les faucons pourvu qu'on ait l'ivresse, l'essentiel était d'être sur une photo avec un "grand" de ce monde.
Georges W Bush s'approchant de la trappe, une trahison de plus consista à lui savonner une planche qu'il avait amplement rendu glissante lui-même. Depuis l'élection de Barack Obama, le Graal a changé, comment faire pour être sur la photo avec son cher copain Barak, si proche qu'on ne su pas écrire son prénom dans la lettre de félicitations. La suite des mésaventures du mégalo de service, sur le blog de Vincent Jauvert.