Bon, dans une heure, la vérité s'offre à moi : vais-je être emballer par ces nouvelles saisons et vivre mes jeudis en rouge et vert? la réponse, je la donne dès maintenant : oui, je vais suivre jusqu'au bout, c'est sûr! Des séries féminines de ce standing, j'en redemande...
Retour des femmes au foyer le jeudi soir sur Canal : les désespérées et les dealeuses. Pour la petite femme au foyer française que je suis en ce moment
(temporairement), c'est la perspective d'une bonne soirée plateau-tv, en compagnie de mes meilleures amies du petit écran, des femmes qui ont chacune en elles quelque chose de moi...
Desperate Housewives revient plus vite que prévu : seulement
6 mois environ se sont écoulés entre la diffusion de la saison 4 et cette saison 5. Mais en réalité, 5 années se sont écoulées... Beaucoup de choses ont changé à Wisteria Lane : Gaby a eu des
enfants et en garde un peu d'embonpoint, Susan n'est plus avec Mike, Bree a très bien réussi dans son entreprise de traiteur, les enfants de Lynette ont bien grandi... Le tour de force des
scénaristes pour rendre attractive cette nouvelle saison est ce bond en avant dans le temps, petit tour piqué à la série Lost parait-il. Les cinq ans que l'on a manqué? ils nous seront
révélés au fil des épisodes. Cette jolie pirouette permet donc de renouveler la série. Et on doit s'attendre à la disparition de l'une de nos héroïnes désespérées...
Weeds, elle, n'en est qu'à sa troisième saison. On avait quitté Nancy en
sale posture, sa petite entreprise dans la galère. En prise avec des dealers psychopathes, mal secondée par son beau-frère obsédé sexuel, tout lui échappe et
surtout son fils Silas, qui marche dans les pas de sa mère en se mettant à dealer à son tour. Bref, ça sent le roussi à Agrestic! Certains considèrent Weeds comme la version trash de
Desperate Housewives : veuve, Nancy doit subvenir aux besoins de sa progéniture et elle choisit l'illégalité, l'argent facile. Ce qui donne un résultat détonant, des situations
hallucinantes et une série subversive. Un petit bijou d'humour et pas besoin de fumer pour rire... Petit bonus de la série, son générique Little boxes, décliné à chaque épisode d'une
façon différente : rock, reaggae, country, cajun.... il existe un nombre incalculable de versions, offrant à chaque fois de l'inédit.
Bon, dans une heure, la vérité s'offre à moi : vais-je être emballer par ces nouvelles saisons et vivre mes jeudis en rouge et vert? la réponse, je la donne dès maintenant : oui, je vais suivre jusqu'au bout, c'est sûr! Des séries féminines de ce standing, j'en redemande...
Bon, dans une heure, la vérité s'offre à moi : vais-je être emballer par ces nouvelles saisons et vivre mes jeudis en rouge et vert? la réponse, je la donne dès maintenant : oui, je vais suivre jusqu'au bout, c'est sûr! Des séries féminines de ce standing, j'en redemande...