Il y a quelque chose de paradoxal dans mon quotidien actuellement. C'est fou comme le blocage de vos lieux de travail peut susciter, non un allègement de vos horaires, mais une perte de temps exponentielle au fur et à mesure que les semaines défilent. De réunions interminables en établissement sans fin d'un éventail de stratégies sensées balayer tous les scenarii futurs imaginables ; de points d'informations quotidiens en permanences fantômes dans un bureau égaré que vos étudiants ne trouvent jamais, la fin du semestre se rapproche sans que l'on s'en rende compte. Soudain, le rush final s'enclenche. Une brusque piqûre de rappel : il faudra bien remplir la ligne correspondante aux notes de sa matière dans quelques jours... Et voilà comment un semestre chaotique version gruyère devient un des semestres les plus surchargés où l'on atteint parallèlement des sommets d'inefficacité.
Encore une semaine à tenir et tout devrait reprendre un rythme plus normalisé.
Je suis en train de préparer la review d'une série d'une nationalité jamais encore traitée sur ce blog (*subtile teasing* -à ce jour, ont été traitées sur ce blog des séries américaines, anglaises, canadiennes, japonaises et coréennes). Le temps de finir le visionnage de la première saison... et la review sera emballée !
En attendant, j'avais répondu il y a quelques semaines (anticipation inspirée) à un petit questionnaire sympathique sur Critictoo, destiné à établir des "profils de sériephile" (il y en a un qui est généralement publié chaque semaine). Or, mon profil a été publié cette semaine.
Si vous souhaitez consulter mes réponses à des questions plus ou moins complexes (et casse-tête!) sur les séries entre autres détails, je vous invite à suivre le lien (et à explorer plus en avant ce site -dans l'hypothèse (très peu probable) où vous ne le connaîtriez pas encore) :
Le profil du sériephile : Heather
Vous me reconnaissez bien là : la photo associée à mon profil ne pouvait renvoyer à aucune autre série. (Pour ceux qui ne l'auraient pas reconnu -hypothèse que je ne veux même pas envisager-, il s'agit bien sûr ce cher Josh Lyman, d'A la Maison Blanche).