Le G 20 consacre deux pouvoirs : Barack Obama dans les médias et la Chine dans les coulisses.
Le leader Américain attire les lumières médiatiques sans la moindre concurrence. La mauvaise image de GW Bush laissait des espaces. Actuellement, bon nombre de leaders nationaux doivent le regretter tant son successeur ne partage pas la lumière.
Loin des lumières, bien à l'écart, la Chine règle ses comptes et obtient les retours dans le rang souhaités sur le Tibet notamment. Après l'Allemagne, la France se range dans une position plus docile.
La "rebelle attitude" de Nicolas Sarkozy s'avère peu comprise, encore moins acceptée et déclenche surtout des moqueries dans la presse internationale sur le thème du "retenez moi ou je fais un malheur ...impossible".
Ces réunions sont la pesée implacable de chaque pays. La France sans une Présidence Européenne est bien marginale.