(Agence Science-Presse) – Des explosions d’algues rouges toxiques comme on en a connu l’été dernier près de Rimouski, pourraient être plus rares dans le futur… grâce aux algues bleues! Ces algues rouges, qui sont toxiques pour la vie marine et parfois pour les humains, apparaissent dans de plus en plus de régions côtières, à travers le monde, où elles profitent des effets de la pollution humaine. Mais une équipe du CNRS français dirigée par la biologiste Aurélie Chambouvet a constaté qu’une façon de contrecarrer ces bestioles microscopiques pourrait être de leur envoyer dans les pattes —façon de parler— d’autres variétés d’algues —ou dinoflagellés— qui, en devenant leur parasite, freinent la progression des algues toxiques.