Parce que, si on y réfléchit fort, la page blanche, la centralité du logo, la barre de recherche qui annonce une exploration infinie… Oui assurément, Google illustre une vision paradisiaque du web.
Mais à bien y regarder d’un ptit peu plus près, le monstre Technicolor ne prétend pas en faire partie. Le web il n’en est pas, il nous y guide - mieux il nous en ouvre les portes. Des portes massives dont il est le gardien, le porteur de saintes clefs (algorithmiques) imposantes.
Allons risquons l’analogie, Google-Saint Pierre même combat !
Et oui, les imaginaires du web sont prégnants mais - comme ailleurs - part belle est faite à notre héritage judéo-chrétien.