Caterpillar à Grenoble ce sont des centaines d’emplois de plus de supprimés, et comme de bien entendue on appelle Super Nico à la rescousse. Pourtant les salariés de cette société américaine me semblent un tantinet naïfs, un simple petit appel à leurs collègues de Gandrange devait pourtant les dissuader. Souvenez vous il y a un an "Nous sommes prêts à faire le nécessaire quel que soit le propriétaire (de l'usine), car notre objectif, c'est de garder des usines ouvertes en France parce qu'un pays qui n'a plus d'usines est un pays qui n'a plus d'économie", dixit le petit Nico accompagné lors de cette visite de « Gentil Xavier Bertrand » «Soit nous arrivons à convaincre Lakshmi Mittal (le patron indien d'ArcelorMittal, de revenir sur son plan de restructuration, ndlr) et nous investirons avec lui, soit nous trouvons un repreneur et nous investirons avec lui ». Un an presque jour pour jour après une stèle à la mémoire des promesses non tenues à été érigées à la mémoire du mensonge d’état. Aujourd’hui 1er avril le même Nico annonce tout de go « qu’il allait sauver le site » Caterpillar. Alors poisson d’avril ou plus prosaïquement ce grand classique de la politique « les promesses n’engagent que ceux qui y croient ? »….