Une rancoeur qui fait d'elles les plus vieilles chipies de la place littéraire, et dont on ne se demande même plus si elles enterreront un jour la hache de guerre. D'ailleurs, on estime dans les milieux autorisés à estimer que le conflit est bien pire que ces petites déclarations assassines que l'une et l'autre font jaillir de temps à autre dans la presse.
Cette histoire d'héritage déborderait quelque peu hors de la tasse du service à thé en question et concernerait aussi un tableau de leur mère. Bilan des courses, cela dit, alors que Margaret publiera le mois prochain une autobiographie, sa soeur a assuré qu'elle ne l'ouvrirait sûrement pas.
De peur d'y trouver encore des choses qu'elle ne veut pas y lire ou de nouvelles révélations ?