L’allongement de l’espérance de vie, en moyenne de trois mois par an, n’y va pas toujours de paire avec les effets sur signes extérieurs du vieillissement et se traduit, dans les pays dits riches, par une insatisfaction croissante de ceux qui en bénéficient, d’où le recours croissant à la médecine esthétique.
Nous parlons bien de médecine esthétique et non pas de chirurgie esthétique, relativement lourde et sujette à complications selon les cas à traiter, alors qu’il est aujourd’hui possible de gommer certaines imperfections par diverses injections ou par des traitements physiques au laser.
Certains généralistes se sont tournés vers cette pratique, sans formation suffisante, d’où une intervention attendue de la Direction générale de la santé visant à mettre en place une réglementation relative aux produits autorisés et à l’agrément des praticiens qui les mettent en œuvre.
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