Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé les prévenus, considérant que leur intention délictuelle n’était pas démontrée. La cour d’appel de Paris confirme ce jugement, estimant que la complicité intentionnelle n’était pas établie. Sur Internet, en effet, les annonceurs passent par des intermédiaires, les régies, qui placent les publicités.
L’annonceur n’est donc pas en mesure de savoir où vont se loger ses bannières de publicité ou “pop-up”.
Voir également :
“Les Choristes et le P2P : une vigilance accrue des annonceurs ?” - Legalnews France, 2006/08/08 - voir l’article
Sources :
01net ( http://www.01net.com/ ), 2009/03/26