En l’espèce, en un mois, 41 heures de connexion avaient été constatées dont certaines d’une durée de plus de 6 heures.
Ainsi, la Haute juridiction judiciaire précise que les juges du fond ont déduit à bon droit que le comportement fautif du salarié avait rendu impossible son maintien dans l’entreprise, justifiant son licenciement pour faute grave. Par cette décision, la Cour de cassation définit les caractéristiques de connexion qui peuvent être considérées comme une utilisation abusive d’Internet sur le lieu de travail entraînant un licenciement pour faute grave.
Références :
Cour de cassation, chambre sociale, 18 mars 2009 (pourvoi n° 07-44.247) - rejet du pourvoi contre cour d’appel de Toulouse, 6 juillet 2007 - Voir le document
Sources :
Legalis ( http://www.legalis.net/ ), 2009/03/27