Magazine Cinéma
Nous sommes à Seoul, un ancien flic reconverti en proxénète voit ses filles disparaître. D’un soupçon de fuite, il va vite découvrir qu’un psychopathe est derrière ces disparitions. Si les masques sont jetés dès la première demi-heure (ce qui va à l’encontre des règles de suspens habituels), le jeu psychologique du chat et la souris et les courses poursuites (à pieds) sont terriblement efficaces. La violence simple et débridée (à l’asiatique) finit par en faire un film bouleversant (dans l’esprit des films de Park Chen-wook, Sympathy for Mr Vengeance, …). (note : 4/5, déconseillé pour les âmes sensibles).