La ville connue et reconnue pour sa géographie poulidoristique ne comptait pourtant que peu de cyclistes urbains avant ces aménagements. Depuis, elle n'en compte malheureusement pas plus. Qu'est-ce qui peut expliquer cet échec ? Il est vrai que l'exiguïté des pistes pousse au régime. Il est vrai également que l'alternance entre la route et les trottoirs sur lesquelles il faut monter faute de place n'encourage pas les genoux a récidiver. Mais l'idée était bonne. Peut être aurait-il fallu étudier un peu plus le sujet...
N'est pas Bertrand Delanoë qui veut...
(Photo: TB)