J’avais deux angles d’attaque possible : me foutre de Didier Goux ou me foutre des LHC. J’ai choisi cette dernière possibilité qui m’inspirait plus (désolé, Didier). Néanmoins, m’étant fait traiter de demeuré par une poignée de libéraux, en un week-end de changement d’heure, il est probablement nécessaire de remettre les pendules à l’heure.
Dans ce billet, je dis que les gugusses qui se prétendent ni à droite ni à gauche sont généralement à droite mais n’osent pas le dire, comme s’ils avaient honte ! Toréador fait plus que détailler mes arguments ! Allez le lire et revenez.
Dans les commentaires, des gugusses ont insinué que j’avais dit : « la gauche c’est le bien, la droite c’est le mal ». Je n’ai jamais dit ça. J’ai passé suffisamment de temps à discuter avec quelques individus de droite pour savoir de quoi je parle. J’ai suffisamment de respect pour ces personnes qui ont érigé le travail au niveau d’une valeur alors qu’il ne s’agit de rien d’autre que d’un emmerdement pour avoir envie de donner des baffes.
« La gauche c’est le bien, la droite c’est le mal » : ce sont des gens de droite qui ont écrit ça dans mes commentaires et ça ne fait que consolider l’argumentation de Toréador et de moi… Désolé.
L’autre reproche qu’on me fait est de considérer la scène politique comme un truc bipolaire. C’est faux. Il y a évidemment des nuances, des sujets d’entente, des divergences, … Si ! Même au sein du PS… Par contre, nos camarades libéraux ont inventé un truc (illustration) pour faire croire à l’existence d’une échelle à deux dimensions. Ca leur permet de montrer qu’ils ne sont pas de droite, voire qu’ils sont plus proches de la gauche. Ca leur fait plaisir mais nous ne prendrons pas leurs cochonneries pour argent comptant. D’ailleurs, à ce stade de déformation sur les clivages politiques historiques, ça frise le révisionnisme.
Ce double axe n’existe que dans leur esprit. S’ils ont un esprit autre que celui embrumé par leurs délires tentant de se convaincre de leur intelligence supérieure. Ils sont peut-être convaincus. Pas nous. Ils peuvent lutter seuls, dans leur coin, critiquant mes fautes d’orthographe à défaut de trouver mieux, ces libéraux représentent un pourcentage tellement
Cela dit, on sait très bien où a commencé sa carrière politique la fine fleur du libéralisme Français.
Ces espèces d’intellos du dimanche – et du samedi après-midi – veulent se positionner en marge des rapports politiques habituels. Qu’ils y restent.