C'est ce que rapportent le Monde et zataz.com : un gendarme mobile, inscrit sur facebook y fait part de ses opinions "d'extrème droite mais très extrème", et "définit de la sorte ses centres d'intérêts : "Les croisades, les ratonnades, le nationalisme."
Selon zataz, "Une mesure de suspension administrative a été prononcée [par la direction générale de la gendarmerie] à titre conservatoire à l'encontre de l'intéressé."
A la lecture des différents articles ( voir aussi celui du Figaro ) , on ne sait pas comment le gendarme en question a été repéré sur le réseau social, ni comment les autorités se sont assurées de la véritable identité de la personne qui s'est exprimée sur Facebook.