Or donc, Josette, digne et respectable tenancière du Café Central de Bullet, et non moins digne épouse de mon copain Le Ruf, guide comme moi au Musée, s'en est allée trinquer avec le Bon Dieu.
Ta gentillesse, ta générosité, ton humour vont manquer à beaucoup beaucoup de gens, d'ici ou d'ailleurs… Quand j'habitais dans ton village, tu étais devenue un peu une seconde maman…
Josette, tu es bien là où tu es, je ne me fais pas de soucis pour toi. Mes pensées vont vers les tiens qui comptaient énormément pour toi…
Adieu Josette, tu me manqueras, ça c'est certain. Les repas du dimanche, ou même en semaine, ne seront plus les mêmes sans toi derrière le comptoir…